LES NUITS DE PENÉLOPE.
De son époux absent l’adorable profil,
Toujours à ses doux yeux brillait comme une étoile.
Mais pour tramer trois ans et sa ruse et sa toile
Il fallait qu’elle eut un fier fil.
(Odyssés Ch. II. Trad. indiscrète de Mr. Villemain).
Übersetzung:
PENELOPES NÄCHTE.
In der alten Übersetzung aus dem Jahre 1902 von Polstorff – Fuchs: „Die ollen Griechen“:
Einsam bin ich nicht alleine,
Denn es schwebt so hold und mild
Um mich her im Lampenscheine
Dein geliebtes, teures Bild.
(Odysseus, Kap. II, taktlose Übersetzung von M. Villemain)